Le côté gentillement décalé / ont peu s'attendre à tout / il n'y a pas de limite / l'univers est à porté de main, m'a plusieurs fois fait pensé à Deadpool (et à Thanos, surtout vers la fin de l'histoire). Le monde de Maestros est évidemment bien loin de celui du super héros, mais le l'humour potache et faussement désinvolte des deux héros est fort proche.
J'ai pris le livre d'abord grâce à sa couverture, que je trouve juste sublime. Le reste du comics est à l'avenant : on sent bien la maîtrise total du dessinateur, qui offre des graphismes fins et ultra détaillés. Pour ne rien gâcher, l'histoire - certes simple - est conté sans temps mort avec ce qu'il faut de rebondissement et surtout d'humour.
Maestros est donc un excellent divertissement, un comics fait avec beaucoup de sérieux mais qui ne se prend pas au sérieux !