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BD franco-belge de Daniel Pecqueur et Jean-Pierre Gibrat · 10 janvier 2004 (France)
Résumé : C'est l'été sur la côte normande et le cirque Zampano annonce pour le soir un spectacle extraordinaire : Jonas, l'homme-singe. La radio du marchand de glaces nous donne des nouvelles de Claire Dulac, qui est en tête de la transat en solitaire, quelque part sur l'océan. Elle vient juste de dire que tout va bien, quand elle se fait emboutir par un énorme cargo... Sur la plage, le spectacle a commencé. Jonas, qui est un très charmant jeune homme, se change sous nos yeux éblouis en petit singe en peluche. Une jeune fille dit que c'est truqué, mais on va lui prouver le contraire : si elle veut bien embrasser le petit singe sur la bouche... C'est là qu'arrive la première vague. Savez-vous ce qu'est un tsunami ? Un raz-de-marée. Et un tsunami d'une puissance supérieure à giga-newtons ? Un énorme raz-de-marée... Nous nous retrouvons dans Venise dévastée, avec un morceau de statue de la Liberté, une jolie sirène, un petit Pierrot qui croit que les sirènes ont les fesses pleines d'écailles — ce n'est pas le cas — et un singe en peluche qui flotte sur le canal. La sirène embrasse le singe sur la bouche et ça marche : Jonas revient. Parfaitement ! le numéro du cirque n'était pas truqué. Jonas a toujours eu ce don de métamorphose, depuis le jour lointain où il n'a pas voulu perdre la petite Louise... Mais ne cherchez pas à comprendre, car cette histore relève de la science-fiction, du farfelu et de l'amour fou. On y croise un Prix Nobel cinglé, une fée superbe qui trouve qu'elle a grossi, un amour d'enfance, et la Mort qui vient en gondole prendre le petit Pierrot. (Ne vous inquiétez pas, il a de la ressource...) Et c'est une bien belle fille aussi, la Mort — car tout est beau dans ce monde en ruines : les nanas, les décors, la tendresse, les lumières, et la sirène qui s'en va avec le petit singe en peluche. Pourvu qu'elle pense à ne jamais l'embrasser sur la bouche...