Too much awesomeness equals emptiness.
Sur le papier, on a presque le cross-over parfait : des mutants et des zombies, quasiment les deux phénomènes extra humains les plus cools des dernières décennies.
Sauf que passé la couverture et le titre de la franchise : le néant, ou presque. Malgré un premier tome qui parvient tant bien que mal à instaurer un fil narratif qui fait espérer un scénario relativement épais, on se retrouve au final devant une meute de superhéros cannibales (des zombies qui gardent leur conscience !), qui commencent par dévorer tout ce qui leur tombe sous la main, avant de jouer au jeu de la trahison de façon plus ou moins subtile. Surtout moins.
J'ai tenu seulement les trois premiers tomes avant d'abandonner, déçu et dubitatif.