L'univers de Freaks Squeele se tenant bien et étant assez riche, en faire un spin off est une idée qui "en soit" n'avait rien de choquant. Toutefois quand celui-ci est sur la mère d'une des protagonistes, que l'on a jamais vue, on peut se demander où est l'intérêt.
Comme l'intro nous l'explique, l'idée était avant tout de faire des histoires pour un journal nommé "Doggy Bag" et d'axer cela sur le mélange "violence et sexe" (deux constante que l'on retrouve assez rarement dans Freek's Squeele) qui poussèrent Florent Maudoux à faire cette sorte de spin-off sous formes d'histoires indépendantes (et très différentes. )
Du coup, là où Masiko aurait pu être une simple lecture distrayante afin de satisfaire un délire ou une commande, les trois récits se renouvèlent à la fois dans le fond comme dans la forme offrant un récit assez riche. La violence et le sexe sont quand même assez soft et en terme de nudité, on ne voit que les courbes de l'héroïne, assez proche des canons tel que Maudoux semble les affectionner (tout en courbe...) C'est notamment visible au niveau du dernier épisode, dont l'histoire est raconté sous forme d'un catalogue de tatouage.
Bref, c'est un bon ajout à la saga "Freak's Squeele."