Mister Wonderful par nicolas-R
simple et en même temps novateur.
Deux techniques remarquables (empruntées au cinéma) :
- l'utilisation toute bête du format cinémascope invite à explorer de nouvelles voies dans la narration, renforcer les sentiments de Marshall. Comme la première double page où le 18:09, digital et immense, renforce le sentiment d'angoisse du personnage. la plus belle aux pages 44-45, la solitude. etc... mais comment ranger cette BD dans ma bibliothèque? Elle brise la belle unité de façade!(mission accomplie Mr Clowes)
- les bulles jaunes contenant la voix intérieure, toujours plus envahissantes jusqu'à complétement étouffer les dialogues, la vie réelle.
Après le roman graphique, le "film graphique"?