« Le Tueur, volume 6 ; modus vivendi » nous replonge avec une certaine délectation dans le monde froid, dur et cynique d'un tueur professionnel.
Cette fois le Tueur semble le pantin d'une organisation international de grande envergure et commence à regretter d'avoir repris ce « travail » qu'il affectionne...
Les ingrédients sont toujours les mêmes : un fond intéressant avec de longs monologues justifiant cet « art de vivre » par une logique nihiliste et individualiste et une forme magnifique avec des graphismes somptueux mettant remarquablement en valeur l'Amérique latine.
On se laisse porter avec plaisir et attend impatiemment de découvrir la suite de cette nouvelle ténébreuse affaire.
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