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En effet, je n’ai pas aimé cet album qu’il est difficile de totalement appréhendé vu qu’il constitue la première partie d’un récit dont la fin reste à publier. Bien que le dessin soit toujours...
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le 2 mars 2013
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BD franco-belge de Jacques Tardi (2012)
SensCritique>BD>Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIB, tome 1>Critiques>Avis de antonihuy
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En effet, je n’ai pas aimé cet album qu’il est difficile de totalement appréhendé vu qu’il constitue la première partie d’un récit dont la fin reste à publier.
Bien que le dessin soit toujours parfait d’expressivité et de naturalisme, l’auteur semble n’avoir pas trouvé la formule narrative qui aurait convenu à son histoire.
En effet, nous suivons le récit de René Tardi expliquant son expérience de la guerre et des camps à son jeune fils apparaissant régulièrement dans l’image. Ce procédé devient rapidement répétitif (« On dit un char, pas un tank ») et artificiel. Il eut été plus naturel de laisser l’histoire se raconter d’elle-même par moment, sans ce côté didactique à chaque case. Les cases, d’ailleurs, sont inondées de textes et les images en sont réduites à illustrer, parfois joliment, ces descriptions infinies.
Entre livre historique, récit initiatique ou histoire personnelle, Tardi a choisi un chemin « batard » qui n’atteint aucun des trois buts en cherchant à les combiner.
Bien que le dessin soit toujours parfait d’expressivité et de naturalisme, l’auteur semble n’avoir pas trouvé la formule narrative qui aurait convenu à son histoire.
En effet, nous suivons le récit de René Tardi expliquant son expérience de la guerre et des camps à son jeune fils apparaissant régulièrement dans l’image. Ce procédé devient rapidement répétitif (« On dit un char, pas un tank ») et artificiel. Il eut été plus naturel de laisser l’histoire se raconter d’elle-même par moment, sans ce côté didactique à chaque case. Les cases, d’ailleurs, sont inondées de textes et les images en sont réduites à illustrer, parfois joliment, ces descriptions infinies.
Entre livre historique, récit initiatique ou histoire personnelle, Tardi a choisi un chemin « batard » qui n’atteint aucun des trois buts en cherchant à les combiner.
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le 2 mars 2013
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