Grosse déception...
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le 29 sept. 2018
Je n'ai jamais été très enthousiasmé par cette série et j'avais surtout fini les trois premiers tomes pour le trait de Sorrentino. Mais à force on s'attache aux personnages ( Emiko <3 que j'aime encore davantage depuis le Rebirth) et on se surprend à attendre la sortie des nouveaux tomes. La magie de l'ongoing made in US en somme.
En ce qui concerne le présent album, on peut constater que les choix éditoriaux d'Urban sont toujours aussi bons. La mise en situation par l'éditeur est excellente et on ne ressent absolument pas le vide entre le run de Lemire et celui de Percy - de même qu'on ne ressentait pas l’absence des 16 premiers épisodes en commençant the kill machine.
Le prologue de l'album est très bon et donne envie de dévorer le reste de l'oeuvre... qui est plutôt médiocre. Enfin moyen disons, car l'ensemble reste sympathique. Le premier arc se lit très bien avec un Olliver légèrement dépassé et une Emiko franchement chouette et marrante dans son rôle. On a aussi l'introduction de George, allez hop un chien pour copier ce que fait la concurrence avec son archer - mais bon tant que c'est bien fait je ne me plains pas. Après tout, le chien est le meilleur ami de l'homme (surtout avec des yeux d'un bleu aussi pur).
Il y a une vague morale anti-fasciste mais rien de très poussé, c'est du comics de super-héros bien gentilé.
Par contre le second arc part complètement en vrille il faut le dire. Pas du tout accroché à ce trip sur les sectes mexico-polaires qui vénèrent les os, écrivent en maya, vont au musée,et pratiquent les sacrifices de la montagne au désert. Et évidemment ils ont besoin de faire du tourisme à Seattle pour s'en prendre à Georges. Les scénaristes de l'archer vert vivent décidément dans un autre monde pour inventer de tels méchants, après le mec qui pensait dominer le monde armé d'une lance, voilà les pires ennemis de l'ASPA!
Au niveau graphique, c'est très propre malgré la valse des noms, rien à redire.
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Créée
le 7 févr. 2017
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