L'actualité sur On a perdu la guerre mais pas la bataille
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We lost the war but not the battle
2012 • Comics de Michel Gondry
Résumé : Michel gondry a grandi en France, dans la terreur de devoir un jour accomplir son service militaire : il a finalement réussi à se faire réformer, mais l'angoisse de voir son imposture découverte ne l'a pas quitté. C'est pour lui la source d'affreux cauchemars, dont cette bd totalement loufdingue est l'illustration. La France, au début du XXIème siècle : suite à une guerre civile, le pays est désormais divisé entre la Province et l'Ile de France – dirigée par Johnny Hallyday, qui a pris ses quartiers à l'Elysée. Pour se préparer à la grave menace militaire qui plane sur Paris, le président rappelle quatre ex-étudiants d'art, une bande de copains qui ont échappé au service national en trichant honteusement lors de leurs trois jours. Cette fois, ils ne pourront se soustraire à la conscription sous aucun motif, pas même la mort : les trois garçons doivent d'abord déterrer leur ami, décédé depuis un bon moment -un cadavre plutôt alerte d'ailleurs- et sont enrôlés. L'attaque des ISA – une armée exclusivement féminine, qui ne recule devant aucun moyen pour obtenir la victoire – est irrésistible : la France capitule et est envahie par des hordes d'Isabelles communistes spectaculairement musclées et sexy. Sur nos quatre héros, trois se plient au nouvel ordre et se marient avec une ISA qui les fera trimer à la maison. Le dernier cependant, le narrateur, choisit la fuite avec son jeune fils. Ils parviennent à rejoindre la Suisse, recueillant au passage un drôle de bébé-phallus qu'ils adoptent. Et Johnny dans tout ça ? La bd s'achève sur une vision d'horreur, un Johnny asservi, enchaîné sur scène devant un parterre uniforme d'ISA en délire.
We lost the war but not the battle
2012 • Comics de Michel Gondry
Résumé : Michel gondry a grandi en France, dans la terreur de devoir un jour accomplir son service militaire : il a finalement réussi à se faire réformer, mais l'angoisse de voir son imposture découverte ne l'a pas quitté. C'est pour lui la source d'affreux cauchemars, dont cette bd totalement loufdingue est l'illustration. La France, au début du XXIème siècle : suite à une guerre civile, le pays est désormais divisé entre la Province et l'Ile de France – dirigée par Johnny Hallyday, qui a pris ses quartiers à l'Elysée. Pour se préparer à la grave menace militaire qui plane sur Paris, le président rappelle quatre ex-étudiants d'art, une bande de copains qui ont échappé au service national en trichant honteusement lors de leurs trois jours. Cette fois, ils ne pourront se soustraire à la conscription sous aucun motif, pas même la mort : les trois garçons doivent d'abord déterrer leur ami, décédé depuis un bon moment -un cadavre plutôt alerte d'ailleurs- et sont enrôlés. L'attaque des ISA – une armée exclusivement féminine, qui ne recule devant aucun moyen pour obtenir la victoire – est irrésistible : la France capitule et est envahie par des hordes d'Isabelles communistes spectaculairement musclées et sexy. Sur nos quatre héros, trois se plient au nouvel ordre et se marient avec une ISA qui les fera trimer à la maison. Le dernier cependant, le narrateur, choisit la fuite avec son jeune fils. Ils parviennent à rejoindre la Suisse, recueillant au passage un drôle de bébé-phallus qu'ils adoptent. Et Johnny dans tout ça ? La bd s'achève sur une vision d'horreur, un Johnny asservi, enchaîné sur scène devant un parterre uniforme d'ISA en délire.
We lost the war but not the battle
2012 • Comics de Michel Gondry
Résumé : Michel gondry a grandi en France, dans la terreur de devoir un jour accomplir son service militaire : il a finalement réussi à se faire réformer, mais l'angoisse de voir son imposture découverte ne l'a pas quitté. C'est pour lui la source d'affreux cauchemars, dont cette bd totalement loufdingue est l'illustration. La France, au début du XXIème siècle : suite à une guerre civile, le pays est désormais divisé entre la Province et l'Ile de France – dirigée par Johnny Hallyday, qui a pris ses quartiers à l'Elysée. Pour se préparer à la grave menace militaire qui plane sur Paris, le président rappelle quatre ex-étudiants d'art, une bande de copains qui ont échappé au service national en trichant honteusement lors de leurs trois jours. Cette fois, ils ne pourront se soustraire à la conscription sous aucun motif, pas même la mort : les trois garçons doivent d'abord déterrer leur ami, décédé depuis un bon moment -un cadavre plutôt alerte d'ailleurs- et sont enrôlés. L'attaque des ISA – une armée exclusivement féminine, qui ne recule devant aucun moyen pour obtenir la victoire – est irrésistible : la France capitule et est envahie par des hordes d'Isabelles communistes spectaculairement musclées et sexy. Sur nos quatre héros, trois se plient au nouvel ordre et se marient avec une ISA qui les fera trimer à la maison. Le dernier cependant, le narrateur, choisit la fuite avec son jeune fils. Ils parviennent à rejoindre la Suisse, recueillant au passage un drôle de bébé-phallus qu'ils adoptent. Et Johnny dans tout ça ? La bd s'achève sur une vision d'horreur, un Johnny asservi, enchaîné sur scène devant un parterre uniforme d'ISA en délire.