Wolverine au japon, Logan en Jupon.

Le label Max de chez Marvel se veut être le métal hurlant, le fluide glacial du comics, violence gratuites, sexe, nichons à tout va et au final ce premier tome est loin d'être irrévérencieux. Le Deadpool max avec son parti pris dessin à l'esthétique aquarelle dégueulasse remplissait plus son contrat comics pour adulte. On suit Logan revisité, ancien moine samouraï, et surtout amnésique. Son enquête , sa recherche d'une mémoire perdue est assez mal exploitée et au final on se fout un peu du dénouement pour ce premier tome. Les scènes se succèdent entre moment présent (donc grosses bastons badasses dans des clubs de strip-tease pour la minute coup de poing nichon) et souvenirs au canada ou au japon ancestral. Coup de poker sur le changement de dessinateur , donc le changements esthétique pour les différents souvenirs. Seul moment de bravoure de l'album, cette première histoire de Wolverine que je lis me laisse sur ma faim, j'en suis limite à préférer les deux films sortis qui sont loin d'être bon. ( bon le combat de l'immortel avec son angle intimiste était un bon souvenir blockbuster décérébré je devrai le revoir pour me faire un avis plus tranché).
Après ce premier tome annonce une série, donc il faut peu être la juger dans son entier mais en tout cas cette ouverture supplément boyau, manipulation facile et révélation moisie est assez passable.