Non mais franchement à partir du moment ou une œuvre est présenter dans sa version censurée sur Senscritique c'est qu'il y a un problème qui doit piquer la curiosité de tout le monde.
C'est le truc le plus horrible que j'ai vu dans ma vie, on va rapidement dire que je suis trop premier degré mais celui-ci se définit en fonction de si tu te soumets ou pas à la version créateur de l'objet en question.
Ni dieux ni maitres donc moi je vais dire que c'est toi qui es au premier degré car tu ne perçois pas le vrai sens caché de cette bande dessinée.
Mon "second niveau" de lecture me fait justement me dire que personne ne peut dessiner premier degré cette horreur.
Pourquoi ? Très simple, est-ce qu'à 10 ans tu rêvais de truc comme ca : non, donc pour qui est cette BD ?
Individuellement, pour les plus naifs elle est seulement pour Bastien Vivès qui catharsis ses traumatismes, pour les plus assurés il cherche à subvertir les foules pour ne pas faire l'effort de surmonter son mal et rendre tout le monde comme lui. I
ll ne cherche pas à mal, croyant être un transgresseur, quelqu'un apportant quelque chose à la société parce qu'il fait du "hors-limite" : ce n'est plus vu comme quelque chose de mal depuis l'apparition de la culture du flou.
Les frontières entre les entités non visibles disparaissent forcément et chacun est libre d'interpréter le monde selon ses nerfs animaux, faire le premier choix donner à l'esprit en espérant que ca apaise les chocs nerveux.
Apaiser sa conscience en l'allégeant, voilà la définition du lavage de cerveau.
Politiquement si on laisse ce genre de chose arriver, c'est que ca doit arriver justement : personne ne dit des choses pour dire, on nous a tous appris que nos mots avait forcément une répercussion, puis en grandissant on nous dit que non, pas forcément, que croire au final ?
Ceux qui se soumettent aux jeux de mots sont les premiers à perdre leur vie, parce que c'est en les utilisant qu'on décide de la notre, sinon on fait le jeu de celui fait des farces pour nous.