Ennis continue dans le trash concernant les super héros mais là l'histoire se calme, et se centre sur une enquête. Dans ce tome ici aussi on voit les 2 côtés de l'histoire ce qui donne plus de profondeurs à ces super héros qui n'ont pas que des qualités mais aussi des défauts inavouables parfois.
Je trouve que dans ce tome comme dans le précédent Ennis ici ne va pas assez dans le grotesque pour nous faire rire, mais réussit tout de meme à nous dépeindre des êtres humains.
Pour le dessin il est vrai que Darrick Robertson n'est pas le meilleur pour faire des visages on a des arrondis et bosses en trop je trouve, mais bon pour moi ça reste mieux que du Ramos donc ça va.
Je dirai donc que c'est un tome intimiste à la Ennis sur le monde des super héros enfin réaliste.