Du cul, du cul, du cul
Décevante séquelle bien que prévisible de cette série Infinity 8, cet opus se termine à la manière d'un énième blockbuster bien débile que beaucoup iraient voir au cinéma... Pourtant on aurait espéré...
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le 20 mars 2017
BD franco-belge de Lewis Trondheim et Olivier Vatine (2017)
Décevante séquelle bien que prévisible de cette série Infinity 8, cet opus se termine à la manière d'un énième blockbuster bien débile que beaucoup iraient voir au cinéma...
Pourtant on aurait espéré mieux, surtout en lisant les critiques des derniers épisodes. Beaucoup ne sont pas du tout partisanes du style curieux des auteurs tout en trouvant choquant le synopsis. Y aurait-il eu donc une autocensure interne, voire une petite note collaborationniste afin de tuer dans l'œuf toute velléité de vrai ?
Je ne sais pas et je ne défendrais ni les scénaristes ni les producteurs de cette BD. Mais à la base, d'autres comme moi avaient apprécié les idées initiales puisque Infinity 8 parodiait certains comportements "politiquement correct" mais aussi crétins et totalitaires. Le tout servant à stigmatiser un pouvoir et ses sbires qui se maintient en place en censurant ipso facto tout ennemi, sinon en le qualifiant de facho/réac/anti-gays/beauf/phallo/antisémite, etc...
Et justement prenant l'apparence du IIIème Reich et de ses atours - on ne sait jamais il faut s'y préparer, cela peut recommencer (même sous un autre costume plaisant) car l'histoire se répète, non ?. Tandis qu'avec cette suite, on ne voit que les grosses fesses s'activant de la mignonne héroïne Stella Moonkicker et la fin célèbre l'amour, la tolérance, et les petits oiseaux.
Ouais, bien sûr.
Créée
le 20 mars 2017
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Décevante séquelle bien que prévisible de cette série Infinity 8, cet opus se termine à la manière d'un énième blockbuster bien débile que beaucoup iraient voir au cinéma... Pourtant on aurait espéré...
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le 20 mars 2017
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