L'actualité sur Rodina
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Je ne connaissais pas du tout cette histoire. C'est tiré de faits réels (même si les personnages sont fictionnels) ? Rodina, en russe, c'est la patrie, la terre natale.
Le 10 août 2024
Oui, tout est vrai - j'ai trouvé la référence grâce à un article de journal. Et j'en ignorais également tout...
Le 11 août 2024
Franchement, il s'est pas foulé le Baru. C'est sympathique son histoire, totalement dans le prolongement de Bella Ciao, mais ça mérite pas une BD à part entière.. Les auteurs comme lui on la chance de pouvoir éditer tout ce qu'ils veulent. Dans un contexte de surproduction, ça fait un peu chier quand même, même si je l'aime bien.
Le 8 déc. 2023
2023 • BD de Hervé Barulea (Baru)
Résumé : En 1942, Lena, lycéenne, distribuait des tracts antinazis dans une petite ville d’Union soviétique occupée par les Allemands. Deux mois plus tard, elle était emmenée, avec d’autres et sans ménagement, au camp d’Errouville, un camp de travail près de Villerupt, en Lorraine. Dans le camp d’Errouville, il y avait des Ukrainiens, des Polonais, des Soviétiques, des Tziganes, des Juifs allemands et près de six cents femmes russes et biélorusses. Parmi elles, Nadedja Lissoviets puis Rozalia Fridzon formèrent « rodina », le seul et unique détachement de la résistance française. Elles furent toutes les deux élevées au grade de lieutenant des Forces françaises de l’intérieur (FFI). Et Enrico ? Ah, Enrico... vous savez, l’accordéoniste de Bella ciao... Enrico ne s’appelait pas Enrico mais Heinrich. Heinrich Becker. Il était allemand. Prisonnier puis maquisard. Après la guerre, il est resté à Villerupt. Pourquoi est-il venu ici ? Pourquoi tout le monde l’appelle Enrico ? Il y a tellement d’histoires qui circulent sur lui... Dans la lignée de Bella Ciao, voici le nouveau titre historique de Baru, grand prix de la ville d’Angoulême.
