Pourtant ca met en exergue l'innocence propre à la pureté.
On dit souvent que quand on a mis ses mains dans la merde de l'existence, donc dans l'existence, on ne pourra plus jamais ressentir l'impression de balade homérique dans la réalité propre à la nonchalance absolue de la tendre enfance.
Pourtant les rois ont tous continués à la ressentir peu importe leur âge, tant qu'ils n'étaient pas les vitrines d'autres choses : des demi-dieux enfants de leur couronne et de leur race.
Ce qui importe donc n'est de fait pas du tout les vies endurées mais comment notre enveloppe se résorbe par rapport aux perforations de nos épreuves.
Un peu comme si le monde était un grand bain et que nous devions seulement sentir ces aromes et ses saveurs pour l'assimiler.
Que la moindre entorse à nous-mêmes était une occasion pour la rapine de s'infiltrer à l'intérieur et d'y prendre tout ce qu'y vaut quelque chose, la reluisance de nos organes aux senteurs de paille séché.
Et après il nous bourre de leurs restes à eux, espèce d'exhalaisons de mort laissé au Soleil comme offrande à sa miséricorde de ne pas déclencher tout de suite la fureur du ciel.
Mais comme ca a subi assez la maturation de l'existence douloureuse du grillonement doux d'une forme de labeur, ils se disent que c'est légitime, comme ce n'est pas mort, donc que leurs victimes peuvent vivre de cette façon.