Un jeune garçon se réveille seul, son monde a disparu, il va devoir utiliser les courages qu'il s'est inventés au fil de ses minuscules aventures de découvreur de brin d'herbe de printemps et de feuilles d'automnes.
Il apprendra tout plus rapidement, plus durement, plus effrayamment, jusqu'à ce que ca rentre directement pour pouvoir enchainer la survie au supportable.
Après avoir satisfait ses primordiaux besoins primaires divers et variés, il cherchera à retourner à un semblant de civilisation : plus on est de fous, plus on rit, pourtant ils disent tous se sentir seul dans la foule, car elle est les ramène à eux-mêmes.
Il remontrera bien des humains chacun un versant exacerbé d'un sentiment de possibilité de survie, en se forçant à les surmonter pour ne pas perdre foi en l'humanité et donc espoir, il apprendra de cette manière toutes les facettes de l'esprit humain le plus à la lumière calcinant du monde sans plus aucun voile.
Et puis après les derniers hommes, le dernier regroupement, le dernier talus, toujours le plus éreintant car c'est lui qui érigé sa loi de manière incorporelle en subissant le plus les affres de l'environnement et donc de impossibilité de réflexion d'une meilleure forme.
Alors il faut le surmonter peu importe à quel point il pique, peu importe le mal qu'ils se sont fait, en leur passant dessus tu leur montreras bien qu'est-ce qui leur faut du mal et ou tu peux appuyer pour aplanir leurs bosses.