Enfin ! C’est vraiment le sentiment qui m’anime à la lecture de ce 4ème volet de Thermae Romae car après 3 tomes où le même schéma était répété sans cesse, voilà que Lucius Modestus se retrouve vraiment bloqué dans le Japon moderne. Il était temps que notre architecte romain se retrouve confronté aux autres “curiosités” de la civilisation japonaise à commencer par la puissance de la foudre que le peuple des visages plats a réussi à dompter. D’ailleurs, Mari Yamazaki l’explique elle-même en fin d’ouvrage, il n’était plus possible de faire l’impasse sur toutes ces choses et ces phénomènes qui sont forcément très étranges pour un romain de l’antiquité. Mais pour l’accompagner dans ses découvertes, Lucius peut compter sur la jolie Satsuki avec laquelle il peut converser en latin !
Le virage pris par ce 4ème tome permet de donner un nouveau départ à cette série qui s'essoufflait quelque peu. L’empereur Hadrien peut bien attendre...