Gillen ne m'aura pas laissé une très bonne impression sur Uncanny x-men n'ayant guère compris son angle d'attaque (à l'inverse de generation hope où si la série a des défauts, son point de vue est très nette). Comme annoncé à l'issu du volume précédent, le scénariste choisit de faire de Sinister son grand méchant.
Les quatre épisodes sont assez répétitifs et je trouve qu'il aurait pu condenser tout ça en un gentil diptyque.
Au niveau des dessins, c'est plutôt beau ce que fait Carlos Pacheco, mais ce n'est pas non plus le genre de dessinateur capable de me motiver à découvrir un titre rien qu'avec son nom dessus.