La suite des aventures du jeune Akihiro (et des souvenirs d'enfance de Yoshichi Shimada ) me fait étrangement penser à la version Nippon Animation de Tom Sawyer : des enfants qui vivent leur vie en marge des adultes, des histoires de cabanes secrète, de chasse au trésor, le tout dans un milieu rural en voit d'industrialisation. Ou bien, c'est le passage autour d'une pièce de théâtre itinérante avec une jeune actrice qui me rappelle un truc similaire issue de l'animé Tom Sawyer. Après tout les deux sont des récits issue de l'enfance pauvre de leur auteur.
C'est dans ce tome qu'à la bande formée par Akihiro et Nanri s'ajoute un troisième gamin, Kageyama, qui devient leur ami suite à une histoire de cachette (et de caca dans le pantalon.) On aussi une histoire autour des objets de valeurs puis l'arc autour de la troupe de théâtre. C'est assez marrant de voir une évocation, vite fait, la transexualité avec un acteur travestit en femme, chose qui se faisait souvent dans le théâtre japonais.
Bon, je trouvais le récit assez romancé dans les premiers volumes, mais ça atteint un cran au dessus avec les derniers chapitres qui racontent comment Akihiro et ses copains deviennent ami avec un vieux monsieur qui était autrefois riche et comment celui-ci passe l'été à les entrainer et à chasser un trésor. Ça fait un poil trop.
Le personnage de la mamie est parfaite et ça se lit toujours aussi bien, donc je vais certainement continuer quand j'aurai mis la main sur les autres tomes.