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Chronique complète : https://motstordusetbullescarrees.blogspot.com/2022/07/venom-al-ewing-ram-v-bryan-hitch.html

Nb : je suis obligé à contrecoeur, de prévenir les lecteurs que des spoilers peuvent être possibles.

Panini n'ayant pas terminé la publication du run de #donnycates alors que celui de la nouvelle équipe (Al Ewing et Ram V au scénario, Bryan Hitchau dessin) en est une suite direct pose forcement quelques problèmes pour la rédaction de cette chronique.

Cependant, il me faut rassurer les nouveaux lecteurs, si ce run est une suite direct de celui de Donny Cates, il n'en pas moins abordable. La prise en main est plutôt facile et les auteurs prennent au moins quelques pages pour présenter les nouveaux concepts et autres personnages.

L'écriture à 4 mains s'explique de cette façon : Al Ewing s'occupe de la partie Eddy alors que RamV s'intéresse à celle du fiston. Pour ma part, c'est surtout celle consacrée à Dylan, plus conséquente, que je trouve plus intéressante. Et dès la première apparition de Dylan, on comprend le problème : il se sent abandonné. Son père est au bout de l'espace et vient de moins en moins souvent, le laissant avec, pour seule compagnie, Sleeper un chat symbiotique et bien sûr Venom, en protecteur non désiré.

Si le choix d'une écriture à 4 mains offre deux environnements différents, l'intrigue est, pour le moment, assez classique. Le duo de scénariste nous ramène un nouvel ennemi énigmatique et surpuissant qu'on imagine lié à la race symbiotique. ça reste néanmoins plutôt efficace mais au vu de leur qualité habituelle, on espère que le récit nous prévoit quelques surprises par la suite.

Côté dessin, on est ravi de revoir Bryan Hitch au top de sa forme. Son style réaliste, cinématographique et particulièrement fouillé est aussi efface sur les parties plus posées que sur les scènes d'actions Epaulé par son encreur habituel Andrew Currie et Alex Sinclair au couleur, Bryan Hitch offre un véritable spectacle visuel absolument réjouissant

Stephane_Hob_Ga
7
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Créée

le 19 juil. 2022

Critique lue 26 fois

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