Après Garth Ennis, c'est Warren Ellis qui a le droit à son intégral Vertigo/Urban Comics, plus court mais tout aussi intense.
Je dois avouer que j'ai trouvé le récit principal moins prenant que ceux de Garth Ennis, ou peut-être un peu moins surprenant. Le tout reste quand même d'une grande qualité, et dépeint encore une fois un Londres méconnaissable et un incroyable John Constantine.
Le récit est par contre suivi de plusieurs nouvelles courtes mais vraiment bien écrites et dessinées, y compris la stupéfiante Shoot, qui mènera d'ailleurs Warren Ellis à arrêter la série (vous comprendriez pourquoi après l'avoir lu...).
Bref, peut-être que j'ai moins aimé à cause du changement de rythme, ou peut-être à cause du fait que j'aurai aimé en lire encore plus, tant la narration de Ellis est prenante à sa manière.