Critique du TPB américain (épisodes 164 à 170)
Un premier arc Gods of Gotham maladroit, lourd et peu intéressant. Moi qui est toujours considéré Wowo comme l'équivalent qualitative de DD chez DC, avec un nombre incalculable de grands runs, je tombe sur un run réputé et pourtant de bien piètre qualité : quelle déception...
Heureusement, le diptyque éponyme Paradise Lost remonte le niveau. Artemis, personnage dont l'histoire dans les années 90 était étonnamment passionnante à suivre, retrouve ici de l'intérêt dans cette opposition interne entre les tribus amazones, et la remise en cause du fonctionnement politique de l'île.
Le dernier épisode permet une belle introspection de Diana à travers son dialogue avec Lois. Le style peut laisser à désirer mais le fond a le mérite d'être présent dans le développement des personnages.
Une moitié d'album catastrophique, une seconde agréable, pour un tout disons passable. Loin de ce que j'attends d'une bonne histoire Wonder Woman.