Critique de Sarah Bernhardt, la divine par cathVK44
Passion, excentricité, théâtralité. Cédant aux conventions du biopic, la mise en abyme narcissique imprime la légende d’un monstre sacré.
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il y a 2 jours
Le cinéma est le meilleur moyen pour exprimer le monde des rêves, des émotions et des instincts (…) Le film parait comme une imitation inconsciente du rêve » a dit un jour Luis Buñuel Quant à Fritz Lang, il déclare : "Un cinéaste devrait être une sorte de psychanalyste, lui-même offert à la psychanalyse. Si quelqu'un pouvait connaître nos films et connaître tout de notre cœur, de nos désirs, de ce que nous aimons et de ce que nous haïssons, il pourrait dire pourquoi et comment nous fait ce que nous avons fait.
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Critique de Sarah Bernhardt, la divine par cathVK44
Passion, excentricité, théâtralité. Cédant aux conventions du biopic, la mise en abyme narcissique imprime la légende d’un monstre sacré.
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il y a 2 jours
Les mensonges du rêve américain.
De la brutalité du monde, faire l’édifice d’une œuvre. D’un trauma, une transcendance gravée dans le marbre. Mensonges du rêve américain. Sans jeu de mots, le film est monumental. Evocation du...
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il y a 3 jours
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Substance vénéneuse.
Ni veuve noire ni mante religieuse, mais une femme piégée dans les diktats masculins. Pour une taille de guêpe, la substance est vénéneuse. Telle "La mouche" de Cronenberg, avec les thèmes de la...
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il y a 3 jours