Le cinéma de Tarek Boudali et Philippe Lacheau, c'est comme un repas au fast-food : expédié, coûteux, de piètre qualité et souvent indigeste. Ils recyclent les mêmes recettes, sans innovation ni saveur, et le résultat laisse souvent un goût amer dans la bouche des spectateurs. Leurs films manquent cruellement d'originalité, se contentant de réchauffer des clichés et des blagues éculées. C'est comme si on nous servait toujours le même hamburger fade avec une garniture défraîchie. Leurs productions, loin d'offrir un festin cinématographique, nous laissent plutôt sur notre faim, regrettant amèrement d'avoir dépensé notre argent et notre temps pour une expérience aussi insipide.
Peut-on réellement qualifier cela de cinéma ?
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