Docteur Maboul
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L’ultime Guinea Pig emmène définitivement la saga vers le rayon de la série ultra Z (cet opus l’est à peine moins que son prédécesseur) extravagante plutôt qu’agressive. Une doctoresse glam-kitsch (incarnée par un célèbre travesti national), sorte de speakrine 70′s trash, joue la séduction face caméra et la tortionnaire avec ses patients aux étonnants symptômes cliniques. Récit très didactique (le film se déroule en plusieurs parties), effets artisanaux dignes d’Arbre de Noël (les pitoyables explosions de têtes, les transitions tout juste dignes de vidéos de vacances de mr-tout-le-monde), jeux avec divers fluides corporels, Guinea Pig 6 est un peu le Bad Taste du pauvre, une sorte de paradigme rivalisant avec les productions Trauma.
(...)
On est entre Bernie et un Bigdil sanguinolent, pas loin, selon le sketche, d’un Groland nippon.
https://zogarok.wordpress.com/2013/09/01/guinea-pig-lultra-gore-japonais/
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Créée
le 9 sept. 2013
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