Olive est sélectionnée pour participer à un concours de miss pour les petites filles mais il n’a pas lieu à la porte à côté et personne ne semble enclin à l'emmener. Finalement tout le monde sera du voyage et accompagnera Olive au concours Little Miss Sunshine embarquant dans le mini van sur lequel je reviendrai.
Chaque personnage semble avoir son lot de problèmes, Le père et l’argent, la mère et son mariage, le frère et son asociabilité, l’oncle et sa tentative de suicide et le grand père et la drogue. Malgré ça on les voit se soutenir les uns les autres tout au long du film, plus ou moins maladroitement, notamment le père qui, au début, est odieux et ne fait que débiter ses speech de management et de développement personnel à tout va, mais qui pourtant sera le premier à monter sur scène avec Olive pour l’encourager. Tout au long de l’histoire, la famille vis des haut et des bas qui s’enchaînent pour nous faire passer du rire aux larmes et inversement en un clin d’oeil. Véritable condensé de la vie.
Mais mon allégorie favorite reste le mini van, je m’explique. Assez tôt dans le film, après avoir découvert les personnages et la quête principale, le mini van a un problème, le garagiste leur dit qu’il ne peut pas le réparer mais que si le bus atteint une certaine vitesse il pourra rouler sans souci. Ainsi à chaque fois que la famille s’arrête, ils doivent descendre et pousser le véhicule pour le faire repartir puis courrir et sauter dedans, de la même manière qu’ils ont à surmonter tout les épreuves qu’ils traversent dans leur périple.
Ce qu'en pense Latifa