Encore une critique qu'il m'aura fallu mûrir, pendant presque 3 semaines... Non pas que j'étais mitigé, mais c'est plutôt l'inverse pour le coup ! J'étais plutôt plein d'entrain et je voulais laisser un peu redescendre le soufflé afin d'être le plus objectif possible. Tiens, marrant cette allusion culinaire quand on connaît mes capacités en cuisine (mon niveau s'arrêtant aux nouilles chinoises). Bref...

Comme souvent, je vais un peu replacer le contexte et mon état d'esprit. Je pense qu'un état d'esprit joue énormément sur l'appréciation d'un film (qui ne considère pas au moins un nanar des années 80 comme culte sous prétexte qu'il l'a vu quand il était enfant ?...).

Donc déjà, contrairement à beaucoup de critiques et beaucoup de monde, j'avais plutôt apprécié Superman Returns de Singer. Certes, il n'atteignait pas le niveau de son X-Men, surtout sur la profondeur des personnages, mais entre un casting 3 étoiles et une humanisation très poussée de Superman (sa jalousie vis-à-vis du mari de Loïs Lane, l'utilisation de ses pouvoirs pour les espionner...).

Le problème, c'est que cette humanisation tombe comme un cheveu sur la soupe : pas d'explication à travers ses parents adoptifs comme c'est souvent le cas, qui inculque en général à Superman son côté très humain et ça, à cause d'un contexte spécifique que je me dois d'expliquer (même si je ne fais pas la critique de Returns). Bryan Singer était un grand fan de Richard Donner (réalisateur d'un superman et demi), à tel point qu'il a :
- choisi un acteur (Brandan Routh) parfaitement inconnu dont la seule grande caractéristique est sa ressemblance frappante avec Christopher Reeves,
- choisi de démarrer son histoire comme une suite du milieu de Superman 2 (lorsque Superman va sur Krypton voir si il y a des survivants). Et pour comprendre ce choix, il faut se remémorer que Superman 2 a commencé à être tourné par Richard Donner, réalisateur du 1er. Mais suite à des divergences avec le studio, il a été remercié en plein milieu du tournage et remplacé par Richard Lester.

Voici qui explique pourquoi le film de Singer est si particuliers et a l'air complètement hors contexte comme reboot ou comme film à part entière.

Pour Man of Steel, c'est évidemment la carte du reboot qui a été choisi et pour piloter ça, qui de mieux qu'un des 2 nababs d'Hollywood : Christopher Nolan (le second étant Joss Whedon), l'homme qui a "redonné" à Batman ses lettres de noblesse au cinéma (après les mal-aimés films de Schumacher). Mais Nolan est déjà bien occupé et a décidé de travailler avec un réalisateur dont il a sans doute apprécié les films : Zack Snyder.Ce choix est on-ne-peut-plus logique : allez voir ma critique de Sucker Punch pour comprendre. J'y explique que Sucker Punch n'est ni plus ni moins de l'Inception de Christopher Nolan et je pense que ce dernier l'a bien compris. Dès lors, leur collaboration paraissait inévitable et était très attendu de mon côté tant ces réalisateurs ont de points communs et de points complémentaires.


A partir de là, je risque de spoiler un peu donc attention en lisant les prochaines lignes, si vous voulez vous garder la surprise intacte.


Déjà, premier constat : le traitement Nolanien du personnage principal. Sa quête d'identité, à l'image (pour ne pas dire calquée) sur celle de Bruce Wayne dans Batman Begins et qui s'explique ici non pas par le meurtre de ses parents mais par la méconnaissance qu'il a de sa planète et de ses parents biologiques. Quête d'identité expliquée aussi (et là, première grosse surprise) par le fait que ses parents adoptifs (son père surtout, campé par un Costner impeccable) ne l'ai pas élevé dans le bien ou dans le mal mais dans sa possibilité de choisir qui il veut être. On est loin du schéma manichéen habituel. Au travers de flashbacks intelligemment distillés, on voit clairement la montée en puissance de ses pouvoirs et le discours de ses parents : "ne te montre pas aux yeux du monde pour l'instant, reste caché et choisi qui tu veux être... Et quand tu auras choisi, et que tu t'accepteras alors le monde t'acceptera". Sans le savoir, ils perpétuent exactement ce que les parents biologiques voulaient pour leur enfant... Je m'expliquerai un peu plus loin.

Pour ma part, je dois reconnaitre que j'ai toujours eu du mal avec ce super-héros, que j'ai toujours trouvé trop lisse, trop humain alors qu'il ne l'est pas. Toujours "boyscout", une confiance et un respect tellement aveugles en l'espèce humaine qu'il est capable de faire de mauvais choix pour ce qu'il pense être de bonnes raisons. Frank Miller l'a d'ailleurs très bien compris et poussé à l'extrême dans ses comics « The Dark Knight Returns » et « The Dark Knight Strikes Again », en en faisant le fils de l'Amérique et surtout le fils d'un gouvernement corrompu mais humain et donc qu'il suit aveuglément (l’image du président des USA qui diminue ce quasi-dieu en l'appelant "mon garçon" est un des éléments qui m’a le plus marqué sur cette œuvre). Superman est un extraterrestre sur-humain qui se rabaisse au rang d'humain et se refuse au moindre sacrifice sinon le sien. Il est le parfait opposé de Batman, humain qui dépasse ses limites pour en devenir sur-humain et qui est prêt à tous les sacrifices pour arriver à ses fins. Par extension, Superman a les faiblesses d’un être humain, vulnérable dès que son entourage est menacé alors que Batman n’a que peu, voir pas d’entourage, et le met en général à l’abri, hors de ses conflits (c’est sans doute pour ça que la mort du 2nd Robin a été si marquante pour lui dans le batverse). L'opposition des 2 héros se fait jusqu'aux villes respectives : la toujours lumineuse Métropolis et la sombre Gotham.


La première grande force de Man of Steel est de complètement éviter ce cliché habituel en plaçant le point de vu au travers d'un sur-homme qui ne s'accepte pas. Il pense être le dernier de son espèce et ça, jusqu'à sa rencontre avec Zod et son équipe. Et jusqu'au dernier moment, malgré les mauvaises intentions de Zod, il ne choisira pas de camps : toutes ses actions contre Zod ne sont destinés avant tout qu'à sauver Loïs Lane (pétillante Amy Adams) dont il est tombé amoureux et les humains de manière générale dans une moindre mesure et relégué au 2nd plan au travers des militaires qui ne savent pas si il est un allié ou une menace. Son choix n'interviendra qu'à la toute fin lorsque [MEGA SPOILEEEEER] il tue Zod pour sauver des humains, poussant en même temps un cri de désespoir à l'idée de tuer l'avant dernière personne de son espèce... il tombe alors à genoux de dépit et Loïs, consciente de ce sacrifice, vient le prendre dans ses bras pour le consoler. [/FIN DU MEGA SPOILER]. C'est là qu'un héros né... mais dans un acte de souffrance et de désespoir, faisant volontairement de lui le dernier fils de Krypton.


Toujours pour continuer dans l'histoire, une autre force de Man of Steel est sa longue introduction sur Krypton, qui permet de placer un contexte encore inexploré dans les films. La fin de vie de Krypton, civilisation présentée comme très avancée mais ayant fait des erreurs, surtout à cause de sa confiance aveugle en sa technologie. Une vision pessimiste de l'humanité à long terme est clairement soulignée là. Et le fait que Kal-El ne soit pas présenté comme le dernier kryptonien dans cette introduction mais comme le premier vrai kryptonien [MEGA SPOILER] à naître naturellement et non en couveuse, comme ça se fait depuis des milliers d'années (puisque chaque kryptonien naît avec une pré-disposition génétique à remplir un rôle dans la société) renforce cette dramaturgie. Encore une fois, il est question de choix : Jor-El ne veut pas que son fils soit pré-disposé à une chose plutôt qu'à une autre et veut le laisser libre de devenir qui il veut, exactement comme son futur père adoptif.[/FIN MEGA SPOILER]


La seconde force de ce chef d'oeuvre (car oui, maintenant je peux parler de chef d'oeuvre) se situe au niveau de son casting 3 étoiles. Tous les acteurs sont irréprochables, de Henry Cavill qui prouve qu'il a les épaules pour camper un Superman très actuel jusqu'à Michael Shannon qui prouve encore que son talent d'acteur fait de lui un véritable caméléon. A ça, on ajoute Amy Adams en Loïs Lane, Laurence Fishburne (Morpheuuuuuus) en Perry White, Kevin Costner et Diane Lane en Kent... et on obtient un objet cinématographique qui se hisse tout de suite à un autre niveau. Oui, j'ai oublié quelqu'un... volontairement, j'ai gardé le meilleur pour la fin : Russel Crowe en Jor-El. A mi-chemin entre homme de science et homme d'action, il est plus que parfait, je l'ai trouvé époustouflant. Juste, touchant dans son désespoir à prévenir de la catastrophe imminente sur Krypton et résolu à sauver son fils et à l'accompagner par delà la mort... On savait que Russel Crowe était un grand acteur, mais honnêtement, je n'avais pas frissonné devant son jeu depuis Gladiator. Le dernier Jor-El était quand même Marlon Brando, donc la barre était haute, et j'ai eu la même impression que devant le Joker de Heath Ledger, qui ne remplace pas le cultissime Nickolson mais qui joue au moins à jeu égal dans un style complètement différent.


Enfin, dernier point non négligeable : les effets spéciaux, d'une beauté absolue ! De l'introduction sur Krypton, en passant par le costume (d'origine kryptonienne et non terrestre, ce qui lui donne ce côté futuriste classe mais aussi ce qui rappelle ses origines, cassant l'habituel costume cousu par sa mère adoptive)... Tout est là pour se fracturer la rétine sur les 2h20 de film ! Jusqu'au combat final de Superman contre Zod, non sans rappeler celui de Néo contre Smith dans Matrix Revolutions, et qui me fait hurler que tout est là pour faire un film Dragon Ball Z digne de ce nom si le budget y est mis !! Aucune fausse note repérée, tout claque de A à Z.

Mais, car il y a toujours un "mais", une petite ombre au tableau. J'ai trouvé que la patte de Snyder était clairement édulcorée. Après, on accroche ou on n'accroche pas à son style, mais pour moi, Snyder a un style propre et a fait de "Watchmen" et "Sucker Punch" 2 chefs d'oeuvre absolu (Watchmen a été une véritable claque pour moi, si bien que je lui consacrerai sans doute un avis au même titre que Sucker Punch). Alors après, je ne sais pas si c'est la volonté de Nolan, celle du studio ou celle de Snyder lui-même d'être un peu plus conformiste et d'abandonner un peu son style propre (à savoir notamment des couleurs très surexposées et des ralentis très... ralentis...) mais personnellement, je regrette un peu.


Je terminerai cet avis par un des grands morceaux de dialogue de Tarantino, dit par Bill dans son "Kill Bill" et qui est complètement à propos au vu de comment le film se termine... Je ne pouvais résister à l'envie de le mettre :

"Alors, un truc de base de la mythologie du super-héros, c'est qu'il y a le super-héros, et puis il y a son alter ego. Batman est en réalité Bruce Wayne, Spider-Man est en réalité Peter Parker. Quand il se lève le matin, il est Peter Parker, il faut qu'il mette un costume pour devenir Spider-Man, et c'est sur ce point très caractéristique que Superman se différencie des autres. Superman n'a pas eu à devenir Superman. Quand il est venu au monde, il était Superman. Quand Superman se lève le matin, il est Superman. Son alter ego, c'est Clark Kent. Son costume avec le grand S rouge, c'est la couverture dans laquelle il était enveloppé bébé quand les Kent l'ont trouvé. C'est ça sa tenue d'origine. Lorsque Kent met les lunettes et le costard, ça c'est un déguisement, ça c'est le costume que Superman met pour donner le change. Clark Kent est l'image que Superman a de nous. Et qu'est-ce qui caractérise Clark Kent ? Il est faible, il doute de lui-même, c'est un lâche. Il est la critique que Superman fait de toute l'humanité.". (David Carradine, dans Kill Bill par Quentin Tarantino)

Son choix de protecteur de la Terre fait, il ne lui reste plus qu'à choisir qui il va être au quotidien. Et seulement là apparaît son alter-ego : une fois qu'il sait qui il est, il comprend derrière qui "se cacher"...


Voilà... vous l'aurez compris, ce film est pour moi une très grande réussite, que je range au niveau des adaptations de comics entre la trilogie de Batman par Nolan, les Avengers (et de manière générale, la phase 1 des Avengers) et Watchmen. Le traitement du personnage et de l'histoire est complètement inhabituel comparé à ce qu'on connaît et ce qui a été vu dans les différentes adaptations (les films Superman, Loïc et Clark : les nouvelles aventures de Superman, Smallville, ...). On a l'impression que toute l'histoire est prise "à l'envers" comparé à d'habitude et, en plus de surprendre, ça donne une profondeur à l'intrigue et aux personnages jusque là inégalée. Une suite est dores-et-déjà prévu et je trépigne déjà d'impatience de voir à quoi va être confronté ce nouveau Superman, aussi bien au niveau des méchants que dans ses choix et ses combats plus personnels. Je dirai qu’à l’image du logo de ce man of steel, l’espoir est grand concernant cette suite…


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Bonus hors-sujet : Les Batman de Schumacher
- Fiche Film "Batman Forever" : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=12858.html
- Fiche Film "Batman & Robin" : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=11181.html

Pourquoi ai-je parlé des "Batman mal-aimés de Schumacher"... Si si, je me sens le besoin de me justifier ; non pas que je qualifierai ces films de chefs d'oeuvre mais parce que je pense qu'au vu du contexte, son intention était louable...

Petit rappel de l'historique de Batman : à la base, un héros sombre, qui tue un homme dans sa toute première histoire... Avant qu'il ne se fixe de ne plus tuer... c'est un héros torturé et inhabituel... Arrive alors une fameuse série télé... A base de "boum" et de "paf" à chaque coup, cette série est un franc succès (un film sortira même) mais est un franc nanar (le film comme la série), tuant toute l'essence du héros. Il en devient un personnage ridicule et on entre dans une espèce de bat-mania où il suffit de préfixer un nom d'objet par "bat" pour en fait un objet batmanesque. On se retrouve avec une bat-échelle (ni plus ni moins qu'une échelle standard), un bat-copter (un hélicopter noir...) et des bat-ceci et bat-celà dans tous les sens. Mais le public de l'époque accroche donc les scénaristes et studios ne se privent pas.

Puis le public se lasse et Batman a un lourd héritage qui le ridiculise complètement. Il faudra attendre Frank Miller et ses 2 comics The Dark Knight Returns et The Dark Knight Strikes Again pour redorer son blason : on y retrouve un Batman âgé, aigri, marqué par la mort du 2nd Robin, sombre et torturé et surtout clairement schizophrène (sa schizophrénie étant souligné par la voix de Batman qui ressurgit en Bruce lui disant qu'il ne peut se passer de lui). L'univers trouve sa profondeur au travers des contextes sociaux données par les nombreuses "émissions TV" que l'on voit et des différents débats pour / contre Batman. Il en arrivera au meurtre du Joker, dépassant la limite qu'il s'était juré de ne pas franchir.

Le public suit et on retrouve un héros sombre et torturé (ou un sombre héros... pardon !) et arrive Mr Burton et son univers. Il adapte alors Batman à son univers Burtonesque et la mayonnaise prend complètement... et malgré toutes les qualités de Michael Keaton, très sobre en Batman, on ne peut qu'être époustouflé par la prestation de Nicholson dans le Joker, qui porte presque le film sur ses épaules. On sent clairement que Tim Burton applique à la lettre les dires de Hitchcock : un bon film passe par un bon méchant. Il récidive une seconde fois dans Batman : le défi, et à nouveau les méchants ont la part belle niveau traitement (Michèle Pfeiffer, Danny De Vito, Christopher Walken...). Mais ce qu'il faut bien voir, c'est que le réalisateur ne s'est pas adapté à Batman, il a adapté Batman à son univers (je me répète mais c'est important pour la suite) et c'est ça qui a fait le succès de ces films.

Vient ensuite Schumacher, qui disons-le de suite sans mauvais esprit, n'a pas de style ou d'univers particuliers comme Burton. Conscient selon moi de cette faiblesse, il va alors faire 2 choses pour compenser ce côté "réalisateur aseptisé" (ça n'est pas du tout dit méchamment mais plutôt comme à contrario de réalisateurs qui ont leur propre patte : Tim Burton, Quentin Tarantino, Christopher Nolan, Zack Snyder, ...) :

- il va suivre ce que Burton a commencé, mais en appliquant plus bêtement : il fait la part-belle au méchant en prenant de grands noms (Tommy Lee Jones, Jim Carrey, Arnold Schwarzenegger, Uma Thurman) mais délaisse complètement Batman et surtout Bruce Wayne, à qui il colle un associé, Robin, histoire de... et n'est pas Tim Burton qui veut, il en résulte donc un ridiculisme permanent de ces bad guys qui sont poussés à l'extrême et qui souvent sont obligés de surjouer,

- il va, faute de style, rendre hommage à la fameuse série TV des années 60 en appliquant un univers ultra-coloré mais complètement hors propos dans le contexte présent. Regardez un épisode de la série et les films de Schumacher pour vous en convaincre : à part les "bim" et les "paf", tout y est, jusqu'à la reprise de la bat-mania à outrance lorsque Batman sort sa Bat-carte bleue... On comprends le surjeu des acteurs dans cet univers si peu crédible...

Je pense donc que ses intentions étaient louables et n'ont pas été comprises. Il a certes "tué" Batman pendant longtemps au cinéma (jusqu'à la venue de Nolan derrière la caméra) mais je trouve que ses films ne sont pas si foireux si on les considère comme des hommages à cette série TV, qui a eu du succès en son temps. Il s'y est juste mal pris mais il n'est pas plus à condamner que tous les studios et tous les réalisateurs qui font des films de vieilles séries TV avec plus ou moins de réussite (wild Wild West, Chapeau Melon et Botte de Cuir, le Saint, Drôles de dames et j'en passe...).

Créée

le 26 sept. 2014

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