La part sombre (« dark ») du titre annonce ce qu’est A dark, dark man, à savoir un polar noir. Ce film réalisé par Adilkhan Yerzhanov suit dans la filmographie de celui-ci La tendre indifférence du monde (Duo kazakh et art occidental) qui fut en 2018 son premier film distribué en salles en France. A dark, dark man est cependant déjà le septième long-métrage réalisé par ce cinéaste kazakh pas encore quarantenaire. Autant de réalisations derrière lesquelles Yerzhanov apparaît aussi quasi systématiquement en tant que scénariste. Une double casquette que ce jeune cinéaste porte aussi sur ses... cinq prochains films ! Autant de réalisations dont il faudra scruter une éventuelle distribution en France. Talentueux et prolifique, cet auteur doit être suivi de près. Lire la critique complète.