Je sais que personne ne lit ces critiques il y en a trop, juste qq égarés à peine, et parfois on tombe d'accord avec l'une d'elles et on est ravi de voir que dans la nasse qq d'autres a ressenti la même chose que nous devant le même film. Ou il nous a éclairé. D'où les "éclaireurs". Je vais allumer la lumière pour personne (lisez la Bible, même notre seigneur à dit que l'esclave doit être obéissant à son maître, même si c'est une métaphore et qu'il parlait de lui-même, le fils de dieu, c'est écrit, en toutes lettres, l'esclave doit obéir à son maître).
À United Kingdom.
Jospin avait eu son quart d'heure de gloire en remplaçant les mêmes mots pour une sale affaire :"c'est pas une affaire d'état, c'est une affaire De l'état".
À United Kingdom...
Mettre une préposition (à, de, etc) et le tour est joué...
L'Angleterre grise de la reine Victoria, conspué puis admirée, on se souvient que du style Victoria, pendant 38 minutes, puis l'Afrique, bariolée, en tout cas les bechuanalandais
Portent pas le boubou, on parle État, amour et apartheid.
Qu'elle parte !
Qu' il reste !
Shakespeare aurait adoré.
Bref.
Mamour, une collègue avec qui j'ai travaillé pendant 15 ans, 6 jours sur 7, tous les jours, punaise, est morte, cancer, commerce, elle était dans la grande distribution, gueulait, piaillait, détestait les noirs et kiffait Johnny à tel point que sa fille chérie, reine des échecs, s'appelle Tennessee !
Elle a vu sa fille se marier au moins.
Avec un blanc.
Forcément.
Les collègues noirs se marient devant l'imam. Pas devant un adjoint de mairie blanc, comme dans le film.
D'ailleurs on le voit même pas.
Gros plan sur les mains qui se passent la bague aux doigts.
Je devrais pas parler mariage, trop dur pour moi.