Seul dans un container pendant une heure et demie
Ayant déjà commis les fameux "fusées de morve" et "typhon de sushi", le réalisateur s'essaie ici dans un genre différent, le huis clos d'ambiance.
Caramba encore raté!
On s'ennuie ferme dans ces neuf mètres cube, entouré de tôle et sans issue, à suivre ce pauvre type essayer de comprendre ce qui lui arrive. Rassurez-vous on comprend presque tout, mais c'est tiré par les cheveux et en longueur (non pas de fantôme japonais cette fois-ci).
Personellement, j'ai apprécié ses croquis et la manière dont il s'en sert pour se repérer et créer un sens d'orientation dans son parallélipipède. Mais la coïncidence de la rencontre avec son voisin du dessous, pfuuu.
La bande son n'aide pas non plus, cris braillards désespérés et coups sourds sur la paroi vous arrachent les tympans.
Quelques effets spéciaux à la fin, pour un grand n'importe quoi scénaristique.
Nous sommes tous sentis soulagés quand nous sommes sortis.