CRITIQUE
1
Moment embarrassant quand un vieillard sénile se défèque dessus avant de se masturber dans sa merde.
2
Brandissant vigoureusement l'étendard de son mépris total pour la technique, JLG impose aux courageux spectateurs une heure de torture pure et simple du cortex visuel.
1
Tous ces jeux de mots de merde, Oh mon Dieu !
2
Si de ce mépris est née une poignée d'idées fraiches il y a cinquante ans, force est de constater que ça sent le formol et qu'il ne reste plus de JLG qu'une triste farce, un simulacre parodique de lui-même. En inventant Jean-Kenneth Longueur, les Monty Pythons ne sont vraiment pas tombés loin...
ADIEU 3D
A plusieurs reprises j'ai dû enlever mes lunettes. Le film est pas plus difficile à suivre sans, soit dit en passant.
1
PLUS JAMAIS
CRITIQUE
2 Des fois il ne finit pas ses phrases,
1
Peut-être qu'un jour un bonobo se branlera dans sa merde et de son sperme écrira un magnifique poème, mais les premiers essais ne sont pas concluants.
2
A ce stade de la compétition, ça n'est plus le cinématographe que JLG méprise, mais les spectateurs. A plus d'un titre, son film est un gros troll, à l'humour douteux ( se poster devant l'USINE A GAZ pour trouver du bien à dire d'Hitler, c'est couillu ) et incapable de laisser Beethoven tranquille plus de trente secondes.
1 CACA fap fap fap splurrrrt mmmmhhh
Fort heureusement, comme les meilleures branlettes, ça ne dure pas longtemps.