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Survival Urbain.
Eli Roth, le créateur de la saga Hostel, réinvente les codes du genre du film catastrophe et plus précisément le tremblement de terre avec Aftershock, Roth est l'un des acteurs principaux ainsi que...
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le 12 déc. 2016
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Aftershock : L'Enfer sur Terre par Poulpix
Avec une bande annonce qui surprend par son mélange de genre (humour noir? torture porn?), n peut se demander à quel sauce on va être mangé. Résultat: pas par une sauce piquante!
Et oui, on se dit qu'avec des films comme Hostel ou Cabin Fever, on allait peut être avoir droit à un rééquilibrage entre le trash et l'humour intéressant, mais finalement ça rend l'ensemble tiédasse.
Il faut dire qu'attendre + de 30 mn pour avoir droit à la 1ère scène choc, sur un film de 90 mn, c'est franchement plus que limite, surtout vu l'inintérêt des scènes proposées: des sortes de Very Bad Trip boys qui se retrouvent au chili à faire la fiesta (clin d'oeil à Hostel?), à draguer lamentablement au point qu'aucun d'entre eux ne soutire la moindre sympathie, homme ou femme.
Dès lors, on attend avec impatience leur massacre mais sorti de quelques scènes grand guignolesques, pas grand chose à se mettre sous la dent, La faute sans doute à une écriture pas vraiment poussée malgré une variété des lieux et des situations qui auraient dû favoriser les idées, mais ça ne vient pas, ça se contente du minimum.
Pas très gore et poussif malgré du potentiel.
Kinote: 2.5/7 ou 3.5/10
Et oui, on se dit qu'avec des films comme Hostel ou Cabin Fever, on allait peut être avoir droit à un rééquilibrage entre le trash et l'humour intéressant, mais finalement ça rend l'ensemble tiédasse.
Il faut dire qu'attendre + de 30 mn pour avoir droit à la 1ère scène choc, sur un film de 90 mn, c'est franchement plus que limite, surtout vu l'inintérêt des scènes proposées: des sortes de Very Bad Trip boys qui se retrouvent au chili à faire la fiesta (clin d'oeil à Hostel?), à draguer lamentablement au point qu'aucun d'entre eux ne soutire la moindre sympathie, homme ou femme.
Dès lors, on attend avec impatience leur massacre mais sorti de quelques scènes grand guignolesques, pas grand chose à se mettre sous la dent, La faute sans doute à une écriture pas vraiment poussée malgré une variété des lieux et des situations qui auraient dû favoriser les idées, mais ça ne vient pas, ça se contente du minimum.
Pas très gore et poussif malgré du potentiel.
Kinote: 2.5/7 ou 3.5/10
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le 13 nov. 2013
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