Dupontel, un personnage à part dans l’humour, le grungeo-punk du stand-up, qui réussit à être drôle en injuriant ses spectateurs…

La reproduction – 7

Dupontel dans toute sa splendeur, qui n’hésite pas à aller à fond dans les situations extrêmes, gênantes, à l’humour noir et bordel-line, très sympa bien qu’un peu facile sur le thème de la sexualité.

Rambo – 5

Je n’ai jamais supporté ce sketch. Je le trouve interminable, pas totalement drôle, redondant, avec un personnage excessif insupportable au fur et à mesure… Rien à faire.

La plaidoirie – 7

Très bien amené, cette plaidoirie, qui nous fait comprendre les faits petits à petits, avec un excellent décalage noir et sordide, de la mauvaise fois dans les explications et de l’absurde dans le personnage.

Le bac – 9

J’adore. On peut, pour beaucoup, se retrouver dans le personnage, mais le dialogue fait totalement exister l’examinatrice, ses questions, et toutes les astuces de Dupontel pour esquiver les questions et tenter de l’amadouer me font beaucoup rire.

Bob – 8

Très chouette sketch aussi, qui est plein de tendresse, d’acceptation et en même temps, à l’opposé, plein de cynisme et de fermeture d’esprit. Réussi.

Trente-millions de mamies – 6

Ouais, bon, pas mon préféré parce que, comme le premier, on va un peu dans la facilité et la redondance. En soi, ça marche, mais sans être totalement palpitant…

L'appartement – 9

J’adore aussi celui-ci : une situation à laquelle tout le monde peut s’identifier, une vision noire et bien trouvé de chaque chose, des gags méga bien amené à chaque fois dont la chute surprend… Nickel.

Cellophane
8
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le 23 févr. 2024

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Cellophane

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