L'actualité sur Anita G.
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Abschied von gestern
1966 • Film de Alexander Kluge
Synopsis : Ce premier long métrage d'Alexander Kluge, un des films initiateurs du Nouveau Cinéma allemand, porte déjà la marque d'une oeuvre qui offrira, selon l'écrivain W. G. Sebald, "la description détaillée de l'organisation sociale du malheur". Ici, le propos est soutenu par une photo en noir et blanc qui souligne la froideur des villes allemandes dans l'après-guerre, où l'odyssée d'Anita G. se transforme en une errance désespérée. Avec son principe de montage-collage, ses intertitres et sa voix off, échos du théâtre épique brechtien, le film place le spectateur en situation d'observateur distant et critique vis-à-vis d'une société rigide et d'un passé non résolu qui détermine le présent : "Ce n'est pas un abîme qui nous sépare d'hier, mais l'évolution de la situation", annonce le premier insert de texte qui ouvre le film. L'interprétation d'Alexandra Kluge, soeur du réalisateur, renforce le sentiment de présence-absence qui poursuit Anita G. dans ce monde glacé, où les moments d'émotion et même de jubilation absurde ont pourtant leur place.
Abschied von gestern
1966 • Film de Alexander Kluge
Synopsis : Ce premier long métrage d'Alexander Kluge, un des films initiateurs du Nouveau Cinéma allemand, porte déjà la marque d'une oeuvre qui offrira, selon l'écrivain W. G. Sebald, "la description détaillée de l'organisation sociale du malheur". Ici, le propos est soutenu par une photo en noir et blanc qui souligne la froideur des villes allemandes dans l'après-guerre, où l'odyssée d'Anita G. se transforme en une errance désespérée. Avec son principe de montage-collage, ses intertitres et sa voix off, échos du théâtre épique brechtien, le film place le spectateur en situation d'observateur distant et critique vis-à-vis d'une société rigide et d'un passé non résolu qui détermine le présent : "Ce n'est pas un abîme qui nous sépare d'hier, mais l'évolution de la situation", annonce le premier insert de texte qui ouvre le film. L'interprétation d'Alexandra Kluge, soeur du réalisateur, renforce le sentiment de présence-absence qui poursuit Anita G. dans ce monde glacé, où les moments d'émotion et même de jubilation absurde ont pourtant leur place.
Abschied von gestern
1966 • Film de Alexander Kluge
Synopsis : Ce premier long métrage d'Alexander Kluge, un des films initiateurs du Nouveau Cinéma allemand, porte déjà la marque d'une oeuvre qui offrira, selon l'écrivain W. G. Sebald, "la description détaillée de l'organisation sociale du malheur". Ici, le propos est soutenu par une photo en noir et blanc qui souligne la froideur des villes allemandes dans l'après-guerre, où l'odyssée d'Anita G. se transforme en une errance désespérée. Avec son principe de montage-collage, ses intertitres et sa voix off, échos du théâtre épique brechtien, le film place le spectateur en situation d'observateur distant et critique vis-à-vis d'une société rigide et d'un passé non résolu qui détermine le présent : "Ce n'est pas un abîme qui nous sépare d'hier, mais l'évolution de la situation", annonce le premier insert de texte qui ouvre le film. L'interprétation d'Alexandra Kluge, soeur du réalisateur, renforce le sentiment de présence-absence qui poursuit Anita G. dans ce monde glacé, où les moments d'émotion et même de jubilation absurde ont pourtant leur place.