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La belle équipe
Délicieuse comédie de mœurs signée Jacques Becker, l'un de ses rares films aussi ouvertement optimiste. Chronique du quotidien à la fois difficile et joyeux du petit peuple parisien, cette classe...
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le 28 janv. 2018
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Touchera, touchera pas au grisbi?
Le film suit le quotidien d'Antoine, massicotier, et d'Antoinette, employée au photomaton d'un Prisunic, d'un samedi soir de débauche au lundi suivant. Quotidien décrit avec réalisme par Becker (la proximité entre voisins dans les logements ouvriers, querelles de couples, épicier de la rue un brin dragueur prétentieux...) mais qui va être perturbé par la découverte par Antoine d'un ticket gagnant de 800 000 francs dans les affaires d'Antoinette. Tous les deux se mettent alors à rêver et à se projeter dans l'avenir. Mais au moment d'empocher la mise, Antoine perd son portefeuille et avec lui, le ticket.
L'obnubilation d'Antoine pour l'argent "perdu" contraste avec le calme raisonnable de sa femme Antoinette qui, ayant apprit la chose, reprend calmement le cours modeste mais heureux de sa vie.
Comme toujours, Marguerite Renoir est au montage et Marcel Camus à l'assistance.
A noter la belle composition de Noël Roquevert et une des première apparitions de Louis De Funès.
L'obnubilation d'Antoine pour l'argent "perdu" contraste avec le calme raisonnable de sa femme Antoinette qui, ayant apprit la chose, reprend calmement le cours modeste mais heureux de sa vie.
Comme toujours, Marguerite Renoir est au montage et Marcel Camus à l'assistance.
A noter la belle composition de Noël Roquevert et une des première apparitions de Louis De Funès.
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le 17 nov. 2013
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