Un court qui en dit long
Mon avis sur ce documentaire, il est très bien, le choix d’alterner les plans de témoignage et ce de ce qui reste de la ville sans aucune musique de fond créée une grande force évocatrice.
De plus, on ne peu qu'apprécier la démarche de la réalisatrice qui a choisit de s'intéresser au sort des personnes qui vivent toujours dans des préfabriqués alors que tout le monde ne parle plus que du nucléaire (que se soit les médias japonais, occidentaux).
De plus cela nous permet de nous immerger dans la culture japonaise où l'on rie plus que l'on ne pleure pour exprimer sa tristesse.
A noter également que Momoko Seto a réussie à accéder aux zones sinistrés en faisant du bénévolat, elle a interrogée les rescapés après leur avoir amené de quoi manger.
De plus, on ne peu qu'apprécier la démarche de la réalisatrice qui a choisit de s'intéresser au sort des personnes qui vivent toujours dans des préfabriqués alors que tout le monde ne parle plus que du nucléaire (que se soit les médias japonais, occidentaux).
De plus cela nous permet de nous immerger dans la culture japonaise où l'on rie plus que l'on ne pleure pour exprimer sa tristesse.
A noter également que Momoko Seto a réussie à accéder aux zones sinistrés en faisant du bénévolat, elle a interrogée les rescapés après leur avoir amené de quoi manger.
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le 21 juin 2014
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