Ce n'est pas un bon film ce mélodrame exotique pour le public d'Outre-Atlantique avec cette histoire d'un toréador éprit de deux femmes. Trop de romanesque, trop de sentimentalisme et trop d'expressivité dans l'interprétation avec la plus grande vedette de l'époque Rudolph Valentino, le latin-lover n'était pas un acteur d'exception, loin de là. L'ennui arrive rapidement et la durée de presque deux heures n'arrange rien. Alors il reste le travail des costumiers, des accessoiristes et décorateurs puis le sens de remplissage du cadre large en intérieur ou extérieur de Fred Niblo, il utilise bien l'espace disponible de ses plans comme un peintre.