Encore une adaptation foireuse d'un roman érotique, dont je ne connaissais même pas le nom.
Après les After, les Fifty Shades, on se retrouve non plus avec des films américains donc avec au moins des effets un tant soit peu clinquants, dans Au plaisir de se faire trahir, c'est un film brésilien donc un film à moins fort budget. Et ça se voit... Malgré une bande-originale assez sympathique, le film reprend les défauts des adaptations de romans pour en faire une bouillie infâme autour de Babi, dans un film à la tension sexuelle hyper prévisible (avec son lot de gars bodybuildés, un ex un peu envahissant, et des mecs morts de faim pour choper Babi (et c'est souvent réciproque que pour du plan C). Franchement, si Fifty Shades avait au moins l'illusion de faire tenir avec un scénario foireux, Au plaisir de se faire trahir, c'est d'un niveau After - avec évidemment la grande partie du film qui se passe autour d'une vidéo qui leake et un meilleur ami et collègue qui ont quelque chose à cacher avec Babi.