Un scénario indigent qui récure les fonds de casserole trop cuits de la science-fiction et de la littérature fantastique.
Des choix esthétiques contestables. C'est-à-dire laid.
Un montage lourdingue.
Et je ne parle pas du préchi-précha écolo caricaturalement niais.
Que reste-t-il à Avatar, alors ? La 3D bien sûr !
En fait, c'est juste une bonne excuse pour faire payer la place beaucoup plus cher et faire oublier la pauvreté de l'œuvre. Cameron revient au cinéma de 1890. Ce n'est plus de l'art, c'est une animation pour la foire au boudin.
Venez, venez mesdames et messieurs, dans un instant, ça va commencer...
Merci. Mais non merci.