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Franz et Arthur sont amis, ils aiment se chercher, se défier. L'un et l'autre sont à la fois délinquants, vulgaires, fous mais aussi séducteurs.
Sur tous les tableaux, c'est Arthur qui gagne à chaque fois.

Odile est une jeune femme hébergée par sa tante, louant une chambre à un mystérieux M. Stoltz cachant beaucoup d'argent.
Lorsque Franz apprend à Arthur qu'elle lui a confié ça, celui-ci décide de séduire la fille tout en récupérant le fric.

Le liens entre les personnages sont cohérents, réfléchis et méritent respect. Malheureusement, le film n'en reste pas moins plat tel que pourrait l'être, un feuilleton d'après-midi. La même "platitude" que dans Le Mépris. Serait-ce la signature de Jean-Luc Godard ? Faire des films regardables, avec quelques scènes malgré tout mythiques, mais sans offrir la moindre émotion à son public.
CharlyMartin
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le 20 mai 2013

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Charly Martin

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