Hockney sur glace
La comparaison entre les premiers films de Verhoeven dans sa période néerlandaise et Basic Instinct est intéressante sur plus d’un point. Sa carrière américaine est alors déjà bien lancée, mais dans...
le 20 sept. 2015
73 j'aime
10
Entre nous, et disons le d’emblée, quand Micheal Douglas fait l’amour, ça a quand même sacrément de la gueule. Exit les longues scènes de sexe romantico-puériles que l’on peut retrouver dans Emmanuelle 3 par exemple
L’acteur arrive à allier tendresse et brutalité avec une telle aisance que ça en devient presque fascinant
Sinon en ce qui concerne le film en lui même, c’est plutôt bien fichu sans pour autant que le suspense nous tienne en haleine plus que ça. C’est à la limite du prévisible meme si toutefois l’excellente interprétation qui nous est offerte par la sublime Sharon Stone tend à brouiller les pistes
Créée
le 29 mai 2024
Critique lue 7 fois
D'autres avis sur Basic Instinct
La comparaison entre les premiers films de Verhoeven dans sa période néerlandaise et Basic Instinct est intéressante sur plus d’un point. Sa carrière américaine est alors déjà bien lancée, mais dans...
le 20 sept. 2015
73 j'aime
10
Il y eut un bref éclair argenté dans sa main, un éclat métallique, aiguisé et mortel. Sa main droite s'abattit, vive et cruelle, l'arme transperçant sa gorge pâle que son sang peignit ...
le 29 sept. 2018
58 j'aime
28
Avec ses scènes d'un érotisme assez torride pour l'époque en 1992, la musique envoûtante de Jerry Goldsmith, son mécanisme de l'intrigue sataniquement agencé, l'étrange volupté du personnage de...
Par
le 4 août 2016
33 j'aime
8
Du même critique
Entre nous, et disons le d’emblée, quand Micheal Douglas fait l’amour, ça a quand même sacrément de la gueule. Exit les longues scènes de sexe romantico-puériles que l’on peut retrouver dans...
Par
le 29 mai 2024
Comme d’habitude avec Wes Anderson, le style visuel propre à l’auteur nous envoûte. Les genres s’entremêlent, créant l’hilarité sur un fond de poésie poignante. C’est intelligent, rythmé et...
Par
le 29 mai 2024
L’aspect visuel, les plans, le choix du noir et blanc, la musique, tout y est pour nous absorber. Les joutes verbales entre intellectuels principalement constituées de name dropping sont poilantes,...
Par
le 29 mai 2024