Et bien voilà, on réussit un premier opus et gris par on ne sait quoi on en fait un second. Malheureusement, comme on ne sait quoi dire. Tout ce qu'on avait évité dans le premier on le fourgue dans la suite. Du coup, ce qui pouvait être lu comme une réflexion sur la profonde nature humaine devient une dysotopie sociale simpliste, où les méchants sont les adultes, qui prend la forme d'un banal film de guerre de troisième zone dont chaque plan nous vaut son compte de giclées sanglantes. Très vite on est lassé de ces cris d'orfraie et de ces ordres vociférés à tire-larigot. Alors, de guerre lasse (et surtout lassante), on décroche vite fait et déserte ce champ de bataille où 'intelligence est défaite.

wante-mandret
1
Écrit par

Créée

le 9 juil. 2017

Critique lue 249 fois

Critique lue 249 fois

D'autres avis sur Battle Royale II : Requiem

Battle Royale II : Requiem
Nicolas_Chausso
1

Call of Duty

Après le très réussi et très original Battle Royal, Kinji Fukasaku se décide à lui donner une suite, choix énigmatique tant l'intêret du premier résidait dans sa surprenante manière d'aborder les...

le 5 juin 2013

13 j'aime

2

Battle Royale II : Requiem
Dandy
1

Requiem For A Bouse Royale

Je ne mâche pas mes mots, ce n'est qu'une Bouse Royale. Même le premier, que je trouvais déjà surcoté, était à la fois regardable et original dans son genre. Ici, tout n'est qu'une vaste fumisterie...

le 29 déc. 2013

12 j'aime

2

Battle Royale II : Requiem
Solf
8

Tout sauf nul.

Encore une fois, je me demande par où commencer... Alors, je vais me faire l'avocat de ce film, parce que je le considère comme 30.000x meilleur que son prédécesseur. Battle Royale 1, c'était quoi ...

Par

le 26 nov. 2011

9 j'aime

7

Du même critique

Dans la forêt
wante-mandret
2

L'ennui du chasseur

Le jeu et la voix "léautesques" d 'Elkaïm aurait pu parfaitement convenir à un film 'fantastique' à la française. Mais zut c'est à la française qui ne va pas. On ne sait toujours pas faire. Croire...

le 20 juin 2017

6 j'aime

Other People
wante-mandret
6

Douce chronique d'une mort annoncée.

Quitte à en faire huiler certains, je n'ai pu m'empêcher en regardant ce film de penser à "La gueule ouverte" de Pialat. Mais ici, la petite ville de province du début des années 80 s'est transformée...

le 5 févr. 2017

5 j'aime