En s’attaquant à un biopic sur un personnage non réel, où Beauty est une jeune artiste poussée par son père et sa famille grâce à son don musical, le public reste frustré. Car le récit est-il inspiré de faits réels ? Est-ce que Beauty fait penser à une artiste afro americaine ayant existé ? Bref, on ne sait rien juste d’un début de film où l’on parle brièvement de sa musique pour centraliser l’attention sur son père avare d’argent le poussant à signer dans une maison de disque. Car oui, à l’époque, ça valait encore la peine d’être signer dans ces majors. Finalement Beauty parle très peu de musique (on ne l’a voit jamais chanter, ce qui accroît la frustration - encore pire quand c’est censé être la fin du film. Un récit à moitié convaincant - même si l’approche autour de sa petite amie et le fait qu’elle puisse briser sa carrière car l’homophobie dans le show business était vachement présent - rappelle une carrière de Whitney Houston.