Belmondo l'Influenceur

Synopsis : Interviews d'acteurs et cinéastes, âgés de 29 à 70 ans, à qui Belmondo a donné envie de faire leur métier. "La « bande à Bébel », c'était sept copains qui se sont rencontrés au conservatoire et sont restés amis toute leur vie : Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Bruno Cremer, Claude Rich, Pierre Vernier, Michel Beaune et Jean-Paul Belmondo. C'est une « nouvelle bande » que convoque le réalisateur et écrivain Jeff Domenech dans le documentaire « Jean-Paul Belmondo, l'influenceur », diffusé en premier sur ...Paris Première : celle des acteurs et cinéastes, âgés de 29 à 70 ans, à qui l'As des as a donné envie de faire leur métier. Fidèle parmi les fidèles de Bébel, Jeff Domenech — qui avait passé le premier confinement chez son ami — livre un film passionnant et très émouvant. Quand Richard Anconina, qui revient sur sa scène mythique avec Belmondo dans « Itinéraire d'un enfant gâté », parle de la « force de vie » de Bébel, Gérard Lanvin confie que Belmondo est tout simplement son « idéal, non pas d'acteur, mais de vie ». Bob Sinclar, qui a emprunté son nom de scène au personnage de Bébel dans « le Magnifique », qualifie quant à lui son idole de « superhéros accessible » : pour le DJ, les films de cascade de Belmondo, c'était « les Marvel d'aujourd'hui ». Le pote Antoine Duléry raconte les blagues que lui fait encore Jean-Paul Belmondo et souligne que l'acteur est avant tout un « grand rassembleur ». Et Guillaume Canet se souvient que, ado, il apportait toujours son affiche du « Professionnel » chez le coiffeur pour avoir la même coupe que Belmondo… Papa «cool» et «pas très autoritaire» Jeff Domenech fait même témoigner Stella, la dernière fille de la star, âgée de 17 ans. L'ado se dit être la « plus grande fan » de ce père « cool » et « pas très autoritaire ». De Kev Adams à Christophe Lambert, en passant par Michel Hazanavicius et Cédric Klapisch, tous louent la décontraction, la joie de vivre et le courage incroyables de celui qui, selon Albert Dupontel, est « resté un ado toute sa vie »." (Catherine Balle dans leparisien.fr )