Sur la forme c'est très mal raconté, au début on ne sait pas chez qui on est, ni le pourquoi de la présence de certains protagonistes... et ça bavarde dans le vide pendant plus d'une demi-heure (à l'exception de la scène de la chanson parodique, pas si mal) avant que n'arrive enfin la slasher-touch particulièrement confuse et mal filmée, il en va de même pour la scène finale. Sur le fond on est en plein hyper-féminisme sur l'aire de "toutes les femmes sont des victimes et tous les hommes des prédateurs", c'est ce qui s'appelle avoir le sens de la nuance. A remarquer que le directeur de casting a dû s'amuser à sélectionner un panel de sales gueules masculines qui font davantage peur que les scènes gores. Pas grand-chose à sauver si ce n'est que le gentil minois de Imogen Poots