On prend les même et on recommence. Et si la première partie du film tente de voler un peu plus haut que le lamentable "Pas si bête" réalisé 2 ans plus tôt, on tombe dans la seconde partie dans une accumulation de facilités de scénarios assez lamentables puis comme si ça ne suffisait pas on a droit à un procès ridicule agrémenté d'un moralisme neuneu et déplacé. (le pire étant atteint quand Bourvil se permet d'insulter Mona Goya alors que cette dernière ne le charge pas). Mona Goya n'a aucun mal à survoler une distribution globalement niaise (Paulette Dubost, Pauline Carton)