Un pervers s'amuse dans son fleuve tranquille, puis tout d'un coup, la vérité fait un plongeon dans son monde voyeuriste : sa fonction va en être dévoyé ou plutôt rectifiée.
Par instinct, il part sauver la jeune femme innocente de ce qui parait être un malencontreux coup du sort tout en gardant une pensée contraire dans son inconscient.
Il parle à la police qui ne cherche pas à suivre le bien mais l'appel du plus puissant, sa voix est effacée et ses enregistrements considérés corrompus par les fantômes des rois de ce monde.
Un autre homme prétend avoir tout filmé, que le gouverneur était seul ce jour là : un homme de rien payé pour être quelqu'un, un jour, puis disparaitre à jamais ; le mal peut décider qui est supprimé du plan de l'existence mais aussi faire jaillir quelques zones d'ombres à son propre compte... elles se dilueront de toute façon rapidement dans les ténèbres qu'elles ont toujours habitées.
L'apparence de la vierge est toujours prostituée pour les besoins du malin, elle attise mieux le vice des hommes que n'importe qui : projeter ses défaut sur une feuille blanche pour en faire une partie de soi. De sa faiblesse elle se rend compte, puis décide de jouer le jeu du chercheur de bien pour avoir toujours chercher le mal chez le masculin.
L'homme de l'ombre n'hésite pas à créer des histoires de a à z pour le plus grand nombre en allant jusqu'à ôter la vie de personne n'ayant rien à voir avec l'affaire. Pendant que la fête de la liberté enchaine les hommes de couleurs vivaces n'illuminant que le vide du ciel matériel, le mensonge peut ramper jusqu'à sa proie et empoisonner le puit du vrai pour que plus jamais ou ne puisse y boire à sa source.
Celui qui culpabilisait de son activité mollassonne de bruiteur voyeur distant va devoir se rapprocher au plus près du son de la vérité, entendre les deux sons de cloche du système et choisir définitivement le plus rapidement possible celui qui guidera son esprit pour le reste de son existence.
La vérité n'attire personne… jusqu'à ce qu'une faille dans notre réalité se déchire, nous aspire. A notre conscience de savoir de quel coté il faut courir : résister sans cesse à ce que l'on a vu de l'autre coté.... ou se glisser dedans, tout en ayant plus peur que la réalité de tout le monde se recolle et que l'on ne puisse plus revenir sur ses pas que du fait qu'il y avait, au fond, l'air d'avoir plus de lumière du peu qu'on en ait vu là-bas qu'il n'y en ait jamais eu dans aucun lieu que l'on adore ici.