Breaking in (2018)
Il est horrible de voir son père mourrir écrasé par une machine.
Vendre une maison n'est pas simple quand vos enfants deviennent des cibles.
Être mère en cas de danger pour vos proches vous rend plus efficace qu'un marine.
Ne jamais sous-estimer l'amour maternel dans Breaking in.
Bonjour à tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous à Breaking in de James McTeigue à qui nous devons le culte V pour vendetta, Ninja assassin ou L'ombre du mal. Alors que son père vient de mourir de façon mystérieuse, une mère et ses 2 enfants vont se rendre à l'ancienne maison de vacances de son défunt géniteur, malheureusement pour eux des braqueurs sont également de la fête et la situation va vite dégénérer. Bon, même si le film semble être basique et pourrait faire penser à certains classiques comme Panic room il arrive à nous distraire sans mal grâce à son histoire simple mais efficace, sa mise en scène et son action bien maîtrisée, le film se passe principalement de nuit et ce que l'on peut affirmer c'est qu'il est plutôt réussi, la maison qui est d'ailleurs le lieux de toute l'intrigue est des plus grandiose et bien exploitée, les effets sont convenables sans êtres incroyables mais ils n'avait pas besoin d'être nous plus extrêmes pour ce genre de film, les personnages sont bien écrits que se soit notre trio de survivants ou bien les braqueurs. Au niveaux des acteurs justement on retrouve de belles prestations comme Gabrielle Union dans le rôle principal, Billy Burke que j'avais découvert dans Intracable ou Richard Cabral en véritable ordure. Bref, un film que je peut vous conseiller car il reste agréable mais il ne se démarque pas assez selon moi sur l'originalité de son scénario et risque d'être noyé dans la masse, allez tchuss crevez tous mouhaha 😈😈😈.
Une femme amène ses deux enfants lors d'une fin de semaine à la propriété de son défunt père à la campagne. La famille a bientôt une surprise désagréable lorsque quatre hommes entrent dans la maison pour trouver de l'argent caché.