Bright: Samurai Soul par Baron Samedi

Bright - Samouraï soul : Japon, fin du Shogunat et début de la période Meiji. Un samouraï errant, Izo, se met au service d'une courtisane de luxe. Lorsque la maison est attaquée par des orcs à la recherche d'une jeune elfe fraîchement recueillie, il décide de prendre sa défense. A l'aide d'un orc qui souhaite reprendre sa liberté, Raiden, il s'efforce de ramener la jeune fille et sa baguette magique au pays des elfes.

Bon, dès le départ, une annonce indique que le film est inspiré du film catastrophique "Bright" avec Will Smith. Si j'avais su...

On a donc une sorte de transposition, dans un autre univers, le Japon de l'ère Meiji. Et c'est tout aussi peu intéressant que le film.
On a le droit à quelques combats bien saignants, mais le scénar est d'une telle platitude que ç'en devient pathétique. Quelques base d'heroïc-fantasy jetées chez les samouraïs ne suffisent en rien à en faire un animé de bonne qualité.

L'animation est plutôt correcte, mais l'image est loin de flatter la rétine, et la direction artistique est plus que discutable. Quand à la fin, elle frôle le ridicule, voir même le percute de plein fouet.

Ce que l'on peut désormais qualifier de franchise n'a décidément pas beaucoup d'argument pour plaire, et il serait bon de l'enterrer une bonne fois pour toute.