Bus Palladium par Hortance
Ne soyez pas si vils envers ce film, et envers vous-mêmes !
Bus Palladium nous entraîne au début de la scène Pop/Rock Française, avec ses groupes de potes, ses combines à deux roupies, ses espoirs et sa sueur d'après concert.
C'est l'histoire de Lust, le groupe de Manu et Lucas, deux potes inséparables, qui arrivent à grimper sur scène pour faire leurs preuves, là une nana fout un doute et seime la pagaille et discorde dans les cœurs des rockers (toi-même tu sais, Julien Clerc <3)
Au final, des chansons un peu brouillon, des gueules d'anges, mais une ligne directive entrainante. On est pas dans l'univers Trash promis par les tumultueuse années de la scène rock partout dans le monde, non, là on se situe dans un monde quelque peu utopiste, avec un seul qui fait le con (drugs, sex & pop-rock).
Mais on aime ces hommes plein de testostérone qui se donnent à font pour quelques gouttes de remerciements, on aime l'univers presque intimiste du film et la gueule Marc-André Grondin et de Naomi Green (trooop mignonne) [D'ailleurs, je sais d'où je l'ai déjà vu Jules Pelissier, c'était le gars de la Nouvelle Star krkrkr].
Alors soit, c'est pas profond, c'est du cinéma français (on n'oublie pas que le français aime voir d'autres français réussir, pour pouvoir vivre par procuration), c'est plein de jeunes, et avec de la musique qui ne colle pas vraiment, mais on s'en fout, au final nous ce qu'on veut c'est de la sueur et du rêve.